La Lotus 7

 

Malgré un succès d'estime et une cote de sympathie énorme, en partie due à l’utilisation de la Lotus 7 dans le générique de la série TV «le Prisonnier», devenue mythique également, le constructeur Lotus arrête de la produire en 1972.


Caterham, qui était le concessionnaire unique de la gamme depuis 1968 et qui avait déjà contribué à faire évoluer l’auto, rachète alors la licence de production et, au fil du temps, décline le modèle d’origine en de multiples variantes plus ou moins sportives.





























Dès le début, l’ingénieur fonde son projet sur la sélection de composants légers et simples (moins de résistance nécessaire des éléments) et permet en conséquence une économie de consommables à l’usage (pneus, plaquettes, embrayage, etc...)




















 

Quand Colin Chapman conçoit la Lotus 7 en 1957, il ne se doute peut-être pas que cette voiture restera le fer de lance du parti-pris universel "Light is Right", tant pour le grand public que pour les adeptes de la compétition automobile amateur.


Cela parait évident mais il convient de le rappeler :


Une voiture plus légère...

- accélère plus fort, avec une puissance donnée

- freine plus tard et plus efficacement

  1. -passe plus vite en courbe, d'autant plus que le centre de gravité est bas

  2. -use moins ses pièces «consommables»


Partant de ce cahier des charges "idéal", Chapman voulait également que l'auto soit économique, facile et rapide à produire, donc accessible à un plus large public, en opposition à la surenchère de luxe et de prix qui enflammait les voitures de sport à cette époque (et depuis).


Le choix de la radicalité et du dénuement était donc fait dans ce sens et a perduré, comme le concept d'origine.






















 

Une idée de génie

ou

une évidence ?

Conception

Arret de la production